Toutefois, des stratégies à fond validées ont saison d’été utilisées par mesurer le propylparabène, et les données de biosurveillance chez les gens fournissent une vue pratique de l’exposition d’une habitants générale. Le nombre d’échantillons présentant des plages indétectables de propylparabène pourrait être à la suite de un métabolisme rapide ou à une faible publicité. Selon les informations présentées à Santé Canada, spasantelenenuphar.com le propylparabène est utilisé dans environ 35 % moins de produits (c.‑à‑d. cosmétiques, PSN et médicaments sur ordonnance et en merchandising libre) que le méthylparabène, ce qui indique qu’une publicité moindre pourrait expliquer en partie, dans tous les autres cas en totalité, les faibles prix de détection du propylparabène.

L’estimation de l’exposition par méthode orale et cutanée, d’après les éventualités sentinelles associés à l’utilisation de cosmétiques contenant de l’iso-propylparabène, a été évaluée et les éventualités sentinelles sont présentés dans les tableaux 7‑23 et 7‑24, respectivement. L’estimation de l’exposition par chaque état ​​des lieux est exprimée en phrases d’événement ou sur une base journalière, basé sur la fréquence d’exposition (voir la section 7.6.3, Caractérisation des risques par la bien-être humaine). L’iso-butylparabène a heure d’été présent dans les cosmétiques, notamment les lotions, les nettoyants, les marchandises de maquillage et les marchandises de soins capillaires. Les éventualités sentinelles pour l’exposition aux cosmétiques par moyens orale et cutanée sont présentés dans les tableaux 7‑27 et 7‑28, respectivement. L’exposition générale estimée par chaque scénario est exprimée par occasion ou par jour, basé sur la fréquence d’exposition et les conséquences évaluations sur la bien-être (voir la section 7.7.trois, Caractérisation des risques par la bien-être humaine).

L’administration de 5 à quatre cents µg/kg p.c./j d’œstradiol a induit une augmentation de cent cinquante cinq % à 440 % du poids relatif de l’utérus, par rapport sur le groupe témoin. La DSENO déterminée pour cette étude est de 0,032 mg/kg p.c./j, d’après les effets utérotrophiques à zéro,16 mg/kg p.c./j (Hu et coll. 2013). Un seul volontaire ayant acquis 2 g de propylparabène par méthode orale pendant 5 jours a éradiqué 17,quatre % de PHBA. Cinquante-cinq pourcent du propylparabène éradiqué a été conjugué à de l’acide sulfurique, cependant la forme d’origine n’a pas saison d’été détectée dans l’urine. Dans cette étude, la majeure section de la dose administrée n’a pas heure d’été retracée compte (Sabalitschka et Neufeld-Crzelliter 1954, cité dans Soni et coll. 2005).

Le propylparabène a induit une augmentation du poids de l’utérus chez les souris CD1 ovariectomisées à une dose sous-cutanée de 20 mg/kg p.c./j (Lemini et coll. 2003) et n’a eu aucun effet jusqu’à 1000 mg/kg p.c./j par moyens orale ou sous-cutanée chez les souris ovariectomisées (Ohta et coll. 2012). Le butylparabène a induit une augmentation statistiquement significative du poids de l’utérus chez des souris CD1 ovariectomisées à 21 mg/kg p.c./j (dose sous-cutanée) (Lemini et coll. 2003) et n’a pas induit d’effet dans le même modèle à 300 mg/kg p.c./j (Ohta et coll. 2012). Le propylparabène est actuel naturellement dans quelques-uns des repas et a heure d’été trouvé dans les milieux naturels. Le propylparabène est également actuel dans un certain nombre de marchandises, avec les médicaments sur ordonnance et en vente libre, les PSN, les cosmétiques, les produits antiparasitaires et certains produits de consommation. Il peut être utilisé comme additif alimentaire ou comme composant dans les fournitures d’emballage alimentaire.

Une diminution significative du poids des ovaires et des reins a heure d’été observée dans le groupe ayant acquis la dose élevée d’iso-propylparabène. Des ajustements histopathologiques dans les ovaires et l’utérus ont également saison d’été observés à la dose élevée d’iso-propylparabène (Vo et coll. 2010). Comme nous l’avons parlé dans la section traitant du méthylparabène, certains des résultats décrits juste ici résultent d’une réduction du poids corporel de 9 % à 12 % (Stump et coll. 2014).